CWM (Fre) Set of 18 volumes
Notes sur le Chemin Vol. 11 of CWM (Fre) 422 pages 2009 Edition
French

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Dans ces conversations, la Mère confie à un disciple ses expériences sur le chemin du « yoga du corps », au cours des années 1961-1973.

Notes sur le Chemin

The Mother symbol
The Mother

Dans ces conversations, la Mère confie à un disciple ses expériences sur le chemin du « yoga du corps », au cours des années 1961-1973.

Collection des œuvres de La Mère Notes sur le Chemin Vol. 11 422 pages 2009 Edition
French
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1968




Le 28 août 1968

C’était intéressant, mon petit. J’ai gardé toutes ces notes, nous allons les voir. Ce n’est pas fini. Ce n’est pas fini, et je ne sais pas quand ce sera fini.

Tu as des nouvelles?

Non, Douce Mère. J’avais vu quelque chose avant le 15 août, une nuit, vers le 11 août. J’ai vu une énorme, fantastique vague d’écume blanche, mais une vague plus haute qu’une maison, fantastique; et poussé par cette vague, un immense paquebot, tout noir, qui semblait rouler sur les rochers, mais pas écrasé : il était poussé par cette vague. Et un autre beaucoup plus petit, qui me semblait gris clair, qui allait encore plus vite. Et cette vague fantastique d’écume blanche.

Il y a beaucoup de choses qui bougent là-bas... Tu sais les événements de Tchécoslovaquie.

Ça bouge.

Un paquebot noir?

Oui, un énorme paquebot. Et c’est curieux, on avait l’impression qu’il roulait sur les rochers (noirs aussi), sans être écrasé d’ailleurs.

Je suis sûre que le mouvement a commencé... Combien de temps cela prendra pour arriver à une réalisation concrète, visible et organisée? Je n’en sais rien.

Quelque chose a commencé... Cela paraît devoir être la ruée de l’espèce nouvelle, la création nouvelle, ou une création nouvelle en tout cas.

Une réorganisation terrestre et une création nouvelle.

Pour moi, les choses sont devenues très aiguës... Il était impossible que je dise un mot, un seul mot : dès que je parlais, je commençais à tousser, tousser, tousser. Et alors, j’ai vu qu’il était décidé que je ne devais pas parler. Je suis restée comme cela et j’ai laissé la courbe se développer. Après, j’ai compris. Nous ne sommes pas au bout, mais... comment dire... nous sommes de l’autre côté.

Il y avait un moment où les choses étaient si aiguës... D’habitude, je ne perds pas patience, mais c’était arrivé au point où tout, tout était comme annulé dans l’être. Non seulement je ne pouvais pas parler, mais la tête était dans un état où elle n’a jamais été de toute mon existence : douloureuse, n’est-ce pas. Je ne voyais plus du tout, je n’entendais plus du tout. Alors un jour (après, je vais te dire les expériences), mais un jour où vraiment les choses étaient... c’était pénible, douloureux partout, le corps a dit, il a dit vraiment très spontanément et très fortement : « Cela m’est tout à fait égal d’être dissous, je suis tout à fait prêt à vivre, mais l’état dans lequel je suis, c’est impossible, cela ne peut pas continuer — ou vivre ou mourir, mais pas ça. » À partir de ce moment-là, cela a commencé à être un peu mieux. Alors petit à petit, les choses se sont situées, classées.

J’ai pris des notes, qui ne valent pas grand-chose, mais je crois qu’elles peuvent servir. (Mère cherche des notes sur une table près d’elle) Je ne vois pas encore. Je ne vois pas, seulement je sais.

La première note est datée du 22 août :

« Pendant plusieurs heures, les paysages étaient merveilleux, d’une harmonie parfaite.

« Pendant longtemps aussi, visions d’intérieur de temples immenses, de divinités vivantes. Chaque chose avec une raison, un but précis, pour exprimer des états de conscience pas mentalisés.

« Visions constantes.

« Paysages.

« Constructions.

« Villes.

« Le tout immense et très varié, couvrant tout le champ visuel et traduisant des états de conscience du corps.

« Beaucoup, beaucoup de constructions, des villes immenses en construction... »

Oui, le monde qui se construit, le monde futur qui se construit. Je n’entendais plus, je ne voyais plus, je ne parlais plus : je vivais là-dedans, tout le temps, tout le temps, tout le temps, nuit et jour. Alors dès que j’ai pu noter, j’ai noté cela.

« Toutes sortes de styles de construction, surtout nouveaux, inexprimables. Ce ne sont pas des tableaux vus, mais des endroits où je me trouve. »

Oui, c’est cela. Je vais t’expliquer ce qui est arrivé. Il y a ici une autre note qui est le commencement :

« Le vital et le mental envoyés en promenade pour que le physique soit vraiment laissé à ses propres moyens. »

Tout seul. Tout seul23 . Et alors je me suis aperçue de la mesure dans laquelle le vital et le mental font que l’on voit et que l’on entend et que l’on peut parler. C’était... Je voyais, en ce sens que je pouvais bouger, mais c’était tout à fait sans précision. Sans précision. J’entendais encore moins qu’avant, c’est-à-dire très peu — un peu —, quelquefois, la même chose qu’avant, quelquefois un tout petit son, très lointain, que les autres n’entendaient pas, je l’entendais; et quand ils me parlaient, je n’entendais pas : « Qu’est-ce que vous dites? » Je ne sais pas. Et cela, continu, nuit et jour.

Une nuit (c’est pour te dire que tout était bouleversé)... mais une nuit, j’avais mal ; il était arrivé quelque chose et j’avais une douleur assez forte, et impossible de dormir; je suis restée concentrée, comme cela, et la nuit a passé, il me semble, en quelques minutes. Et d’autres fois, alors, d’autres jours, à d’autres moments, j’étais concentrée, et de temps en temps je demandais l’heure; une fois, il me semblait que j’étais restée des heures et des heures, et j’ai demandé : « Quelle heure est-il? » Il y avait cinq minutes... N’est-ce pas, tout était, je ne peux pas dire bouleversé, mais un ordre tout à fait différent, tout à fait différent.

Et le 23, c’était la fête de X. Je l’ai appelé et il s’est assis. Et tout d’un coup, comme cela, tout de suite, la tête a commencé à marcher — pas « tête », pas « pensée » (Mère dessine des sortes de courants ou d’ondes qui passent à travers elle), je ne sais pas comment expliquer cela ; ce n’est pas une pensée, c’étaient des espèces de visions, de perceptions. Et alors je lui ai posé des questions et il les a notées (Mère tend au disciple une note dactylographiée). Il a noté seulement mes questions, pas ses réponses.

« Mère a dit... le 23 août 1968 dans l’après-midi : “Sait-on comment la Matière s’est formée?” »

C’était le physique qui posait des questions. Je ne sais pas, probablement au contact de l’atmosphère de X., le corps s’intéressait de savoir comment tout cela s’était formé. Et X. était là, je savais qu’il pouvait répondre; alors je lui ai posé les questions.

« Sait-on comment la Matière s’est formée?

« Dire que c’est de l’énergie condensée, c’est simplement reculer le problème.

« La vraie question est : comment le Suprême s’y prend-il pour se manifester en Matière?... »

N’est-ce pas, ces sujets, qui sont considérés comme si importants, si vastes, si nobles, si... j’en parle sur un ton tout à fait enfantin et avec des mots tout à fait ordinaires (Mère rit).

« Sait-on depuis quand la Terre existe?

« Quand on parle de milliards d’années, qu’est-ce que cela veut dire?... »

On n’avait pas de montres, tu comprends!... C’était le corps, avec la simplicité d’un enfant, qui a dit : vous dites des milliards d’années, mais avec quoi avez-vous mesuré!

« Est-on sûr que ce que nous appelons une année a toujours représenté la même chose?... J’ai eu, pendant cette période, la conscience de la non-réalité de notre conception habituelle du temps. Parfois, une minute paraissait interminable; d’autres fois, les heures, une journée même, passaient sans paraître avoir duré.

« Est-ce que l’on dit qu’il y a eu un commencement? »

(Ici X. explique à Mère la théorie suivant laquelle l’univers passe par des périodes successives d’expansion et de contraction, et cette théorie semble plaire à Mère.)

Oui, ce sont les pralayas24.

« Ces questions, c’est maintenant le corps qui les pose. Le mental est parti depuis longtemps. Mais le corps, les cellules du corps voudraient avoir le contact avec l’être vrai sans avoir à passer, pour ainsi dire, par le vital ni même par le mental. C’est cela qui se passe.

« Pendant cette période, j’ai eu deux ou trois fois la Connaissance... »

Ah! j’ai eu des moments, deux ou trois fois, des moments absolument merveilleux et uniques — intraduisibles. C’est intraduisible.

« Mais dès que l’on a conscience d’une telle expérience... »

On a l’expérience, et puis on devient conscient de l’avoir; de la minute où l’on devient conscient de l’avoir, cela s’obscurcit. Il y a quelque chose qui est obscurci.

Oui, c’est tout le phénomène d’objectivation du mental qui, au fond, disparaîtra dans une prochaine espèce.

Oui, cela paraît comme cela.

« Dès que l’on a conscience d’une telle expérience, dès qu’elle se marque dans le souvenir, elle est déjà complètement faussée.

« Au fond, c’est ce qui se passe pour les hommes de science. Quand ils ont une petite parcelle de connaissance, ils doivent l’habiller, la travestir, pour la rendre accessible à la conscience humaine, compréhensible pour le mental.

« (Après un silence, Mère pose une autre question)

« Sait-on depuis quand l’homme existe?

« Il faudra moins longtemps pour l’apparition du surhomme qu’il n’en a fallu à l’homme pour se développer, mais ce n’est pas pour tout de suite. »

Ce jour-là, le 23, j’étais encore... j’étais encore dans une bouillie, mon petit! Alors je me suis dit : pour sortir de cette bouillie et pour devenir un être effectif, n’est-ce pas, qui existe et qui agit, il faudra longtemps. C’est cela que je lui ai dit.

Mais tu dis aussi, pour conclure la note :

« Nous aurons fait ce que nous aurons pu. »

Oui, je lui ai dit cela pour le consoler!

Alors la nuit, voilà ce qui s’est passé (Mère tend une autre note au disciple, écrite par elle-même) :

« Nuit du 26 au 27 :

« Pénétration puissante et prolongée des forces supramentales dans le corps, partout à la fois... »

Pénétration dans le corps. Oui, des pénétrations de courant, j’en ai eu plusieurs fois, mais cette nuit-là (c’est-à-dire la nuit d’avant-hier), tout d’un coup c’est venu, comme s’il n’y avait plus qu’une atmosphère supramentale. Il n’y avait plus que ça. Et mon corps était dedans. Et ça pressait pour rentrer, de partout, partout, partout à la fois — partout. N’est-ce pas, ce n’était pas un courant qui entrait : c’était une atmosphère qui pénétrait de partout. Cela a duré pendant au moins quatre ou cinq heures. Et il n’y avait qu’une partie qui était à peine pénétrée, c’était depuis ici jusque-là (entre la gorge et le sommet de la tête) : là, ça avait l’air gris et terne, comme si cela pénétrait moins... Mais à part cela, tout, tout le reste... ça entrait, ça entrait, ça entrait... Jamais, jamais je n’avais vu cela, jamais! Cela a duré des heures — des heures. Tout à fait consciemment.

Alors, au moment où c’est venu et pendant que c’était là, j’étais consciente : « Ah! c’est pour ça, c’est pour ça ; c’est ça, c’est ça que Tu veux de moi, Seigneur, c’est pour ça, c’est pour ça, c’est ça que Tu veux. » À ce moment-là, j’avais l’impression que quelque chose allait se passer.

J’espérais un retour cette nuit, mais il n’y a rien eu.

C’est la première fois. Des heures. Il n’y avait plus que Ça. Et ça (le corps), c’était comme une éponge qui absorbait.

Seulement la tête, c’est encore gris, terne — gris et terne. Mais alors, tout de même, une vision très claire de tout ce qui s’est passé pour ce corps depuis quelques mois, et... presque un espoir. Presque un espoir, c’est comme si l’on me disait qu’il était possible que quelque chose se produise ici. Voilà.

Et cela, c’était en réponse à ce que le corps avait dit (peut-être deux jours ou trois jours avant), ce que je t’ai dit au commencement : qu’il était tout à fait prêt à être dissous (c’est une soumission parfaite) et il était tout à fait prêt à continuer à vivre, dans n’importe quelles circonstances, mais pas dans cet état-là. Pas dans cet état de décomposition. Alors à cela, il n’y a pas eu de réponse pendant deux jours, et puis est arrivée cette Pénétration. C’est-à-dire que dès le lendemain, j’étais un petit peu mieux, j’ai pu commencer à... je ne pouvais même plus me tenir debout! Je n’avais pas le sens de l’équilibre, il fallait qu’on me tienne. J’avais perdu le sens de l’équilibre, je ne pouvais pas faire un pas. C’est là où j’ai protesté. Et dès le lendemain, cela a commencé à revenir.

Et puis est arrivé le 23, j’ai vu X. et je me suis aperçue que quand il était là, le corps était tout à fait intéressé; n’est-ce pas, ce n’étaient pas le mental et le vital : partis! Je ne sais pas si tu peux réaliser ce que cela veut dire!

Oui, c’est fantastique.

Un corps sans mental et sans vital. Et il était dans cet étatlà quand X. est venu. Il n’y avait que ces perceptions (villes, 133 Le 28 août 1968 constructions, temples), il vivait dans des états d’âme : il y avait les états d’âme des autres, les états d’âme de la terre, les états d’âme... Des états d’âme qui se traduisaient par des images. C’était intéressant. Je ne peux pas dire que ce n’était pas intéressant, c’était intéressant mais pas de contact avec la vie matérielle, très peu : je pouvais à peine manger, je ne pouvais pas marcher... enfin c’était devenu quelque chose dont on devait s’occuper.

Et alors, au contact de X., le corps s’est mis à s’intéresser à tout cela, à poser des questions, tout spontanément, il ne savait pas pourquoi. Il demandait, demandait : « Tiens, c’est comme cela qu’on est fait... » Alors il a commencé à s’amuser.

Cela prendra un peu de temps.

Quand cette Pénétration est venue, avant-hier, je me suis dit : « Ah! » J’ai espéré que la courbe allait s’accélérer et qu’on allait sortir vite, mais cette nuit, il n’y a rien eu. Ce qui me fait dire que cela va prendre encore du temps.

Mais c’est curieux, ta note du 26 au 27 ajoute ceci :

« ... comme si le corps tout entier baignait dans les forces, qui le pénétraient partout à la fois avec une légère friction. »

Et alors tu dis :

« La tête jusqu’au cou était la région la moins réceptive. »

C’est curieux que ce soit le moins réceptif.

Non, c’est la région qui est la plus mentalisée, n’est-ce pas. C’est le mental qui fait obstacle.

C’est curieux, chaque fois que tu as eu ces grands moments, ou ces grands coups, si je puis dire, chaque fois c’est le mental et le vital qui étaient balayés. La première fois aussi, en 1962.

Oui, chaque fois.

Je sais, c’est comme cela : le mental et le vital ont été des instruments pour... triturer la Matière — triturer, triturer, triturer de toutes les façons; le vital par les sensations, le mental par les pensées — triturer, triturer. Mais ils me font l’effet d’instruments passagers qui seront remplacés par d’autres états de conscience.

Tu comprends, c’est une phase du développement universel, et ils seront... ils tomberont comme des instruments qui ne sont plus utiles.

Et alors, j’ai eu l’expérience concrète de ce qu’est cette matière triturée par le vital et le mental, mais sans vital et sans mental... c’est autre chose.

Mais cette « perception d’états d’âme »... il y avait des choses... des merveilles! Aucune, aucune conception mentale ne peut être aussi merveilleuse — aucune. J’ai passé par des moments... Tout ce qu’on peut sentir, voir, humainement, n’est rien en comparaison de cela. Il y avait des moments... des moments absolument merveilleux. Mais sans pensée, sans pensée.

Il y a encore plusieurs notes, là, que je ne t’ai pas lues. Tu dis :

« Pour l’homme, dans la majorité des cas, la conscience commence avec la sensation. Pour le corps, toutes les sensations étaient comme réduites, ou plutôt estompées : vision et audition comme derrière un voile. Mais perception extrêmement nette du degré d’harmonie ou de désharmonie. Traduction imagée : pas pensée ni même sentie. »

Je te l’ai dit, j’ai vu... ce n’est pas « vu » comme vu un tableau : c’est être dans, être dans un certain endroit. Je n’ai jamais rien vu ou senti de si beau que cela, et ce n’était pas senti, c’était... Je ne sais pas comment expliquer cela. Il y a eu des moments absolument merveilleux, merveilleux, uniques. Et ce n’était pas pensé, je ne pouvais même pas décrire — comment décrire? On ne peut commencer à décrire que quand on commence à penser.

Il y a encore une note :

« L’état de conscience du corps et la qualité de son activité dépend du ou des individus avec lesquels il se trouve. » Ah! cela, c’était très intéressant. C’était très intéressant parce que je voyais comme cela (geste mouvant, comme un film qui se déroule), ça changeait. Quelqu’un s’approchait de moi : ça changeait. Il arrivait quelque chose à quelqu’un : ça changeait. J’avais près de moi Y. et Z.; mon petit, un jour... je ne sais pas ce qui leur est arrivé : ils étaient surhumains; un jour où probablement, en apparence, j’étais en danger, je ne sais pas, un jour, pendant toute une journée, les images (pas les « images » : ces endroits où je me trouvais), c’était si merveilleusement beau, harmonieux... C’était inexprimable, inexprimable. Et alors, la moindre chose qui changeait dans leur conscience, ah! voilà tout qui se mettait à changer! C’était une espèce de kaléidoscope perpétuel, jour et nuit. S’il y avait eu un moyen de noter cela... c’était unique. C’était unique. Et le corps était là-dedans, n’est-ce pas, presque poreux — poreux, sans résistance, comme si la chose passait au travers.

J’ai eu des heures... les plus merveilleuses, je crois les plus merveilleuses qu’on puisse avoir sur terre.

Et alors, c’était tellement expressif et tellement révélateur. Tellement expressif. Une nuit, pendant deux heures, ces temples dont je parle (ce n’est pas physique), d’une immensité, d’une majesté... les divinités vivantes, mon petit! pas des images. Et je sais ce que c’est. Et alors l’état de conscience de l’Éternité, oh!... comme au-dessus de toutes les circonstances.

Il y a eu des choses uniques, mais comment les dire?... Impossible, impossible, pas même suffisamment de conscience pour pouvoir écrire.

La note continue :

« Le siège et le champ de sa conscience (du corps) ainsi que la qualité de son activité, changent et varient suivant les présences, sur une gamme complète, depuis la plus matérielle jusqu’à la plus spirituelle, en passant par tous les genres d’activité intellectuelle.

« Mais la perception de la Présence est constante et associée à tous les états de conscience quels qu’ils soient... »

Ah ! je me suis aperçue que les cellules, partout comme cela, tout le temps, tout le temps, répétaient leur mantra, tout le temps, tout le temps.

« Et le mantra se répète spontanément et automatiquement dans une sorte de paix “floue”. »

C’est pour cela, n’est-ce pas, on ne peut pas dire qu’il souffrait, on ne peut pas dire qu’il était malade, ce n’est pas possible. Ce n’est pas possible.









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