Ce volume se compose de brèves communications écrites de la Mère sur différents aspects du yoga et de la vie.
Ce volume se compose de brèves communications écrites de la Mère sur différents aspects du yoga et de la vie : le Divin et l’univers, la religion, l’occultisme, les forces adverses, la guerre, le gouvernement, la transformation, la santé et la maladie, ainsi que des messages, des prières et des conversations.
(Quelqu’un atteint de rhumatismes écrivait :) Suis-je destiné à être un invalide? J’ai donné la meilleure part de ma vie au Divin. Est-ce là mon destin ? N’y a-t-il pas d’échappatoire?
Ayez la foi. Il n’est pas de maladie qui ne puisse être guérie par la Grâce Divine.
Ne pensez pas que vous êtes invalide pour toujours, parce que la Grâce du Seigneur est infinie.
Je vous mets le portrait de deux oiseaux à [la] vue perçante pour vous encourager à avoir la foi dans la guérison de vos yeux.
Je vais voir ce qui peut être fait.
28 janvier 1932
Que faire à propos des maladies?
Être passivement confiant : laissez-moi faire et c’est fait.
Quand on attrape une maladie, comment doit-on prier la Mère?
Guéris-moi, oh Mère!
Sa maladie mentale était congénitale, c’est-à-dire causée par sa constitution physique, et cela lui serait arrivé, où qu’elle soit et quelle que soit la vie qu’elle aurait vécue. En fait, je l’ai tenue en vie ici un an et demi de plus qu’elle n’aurait tenu n’importe où ailleurs.
Ces maladies congénitales ne peuvent être guéries que par une transformation intégrale du corps lui-même, et nous n’en sommes pas encore arrivés là dans la sâdhanâ; autrement il ne s’agit que d’une soi-disant « guérison miraculeuse » et ce genre de miracle n’arrive que comme le résultat d’une absolue sincérité dans la consécration au Divin et d’une foi inébranlable en la Grâce Divine. Ce n’était pas le cas, elle était pleine de peurs, de désirs et d’exigences et terriblement concentrée sur son être extérieur et sur ce qu’elle appelait ses besoins. Cela est tout à fait à l’opposé d’une sincère consécration.
25 mars 1935
Mon cher enfant,
Que ta réceptivité augmente cette année, jusqu’au point de te donner le pouvoir d’utiliser pleinement la force qui est à l’œuvre pour rétablir en toi une parfaite bonne santé.
Avec mon amour et mes bénédictions.
2 février 1948
X. a de nouveau écrit. Deux lettres qui vous étaient adressées de son amie Mademoiselle Y. (qui vous a rencontrée lors de sa dernière visite il y a quelques mois) sont passées inaperçues — apparemment du moins. Elle avait demandé un paquet de bénédictions pour des problèmes qu’elle avait. Elle n’a rien reçu. Mais dans sa seconde lettre, elle donnait de bonnes nouvelles.
Comment « inaperçues »? Elle a été guérie! Homme de peu de foi!
31 mai 1967
Avant de m’endormir je t’ai dit : « Ça ne va pas. [Si ce furoncle] reste je serai obligé de rester au lit la semaine du Darshan. » Je ne suis pas sûr que ce soit possible, mais le matin le furoncle s’était déplacé d’environ dix centimètres de l’endroit inconfortable, me donnant toute liberté de mouvement : un ou deux jours après, il a crevé et maintenant il est sec. Je me demande encore si le furoncle pouvait vraiment se déplacer comme cela.
Tout peut arriver. Seule la logique de notre mental impose des limites. Je dois féliciter ton corps de sa réceptivité.
Cela donne la mesure exacte de la réceptivité de ton corps. Concentre la force sur les parties malades et elles iront mieux.
Je me demande pourquoi ces maux ne guérissent que si je t’en fais part dans le physique. Quand c’est pour les autres, je t’en informe en silence et cela marche. Peux-tu me dire pourquoi?
Cela dépend de la réceptivité physique de chacun et cette réceptivité dépend elle-même de la mesure dans laquelle le mental domine.
C’est une question de réceptivité. Je fais tout ce que je peux pour lui, mais il continue de penser qu’il est malade. Cette idée le préoccupe tout le temps et il a fait une forte formation de maladie autour de lui. Il ne peut recevoir mon aide à cause de cette formation. Qu’il écarte l’idée de maladie et plus de la moi tié de ses ennuis finiront et il sera facile de le guérir.
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