L’Agenda de Mère Set of 13 volumes
L’Agenda de Mère 1951-1960 Vol. 1 576 pages 1978 Edition   Satprem
French

ABOUT

Agenda de l’action Supramentale sur la Terre. The 'psychological preparation' of Satprem for his role as The Mother's confidant, as She narrated her experiences of the 'yoga of the cells' from 1951-1973.

L’Agenda de Mère 1951-1960

The Mother symbol
The Mother

This first volume is mostly what could be called the "psychological preparation" of Satprem. Mother's confidant had to be prepared, not only to understand the evolutionary meaning of Mother's discoveries, to follow the tenuous thread of man's great future unravelled through so many apparently disconcerting experiences - which certainly required a steady personal determination for more than 19 years! - but also, in a way, he had to share the battle against the many established forces that account for the present human mode of being and bear the onslaught of the New Force. Satprem - "True Love" - as Mother called him, was a reluctant disciple. Formed in the French Cartesian mold, a freedom fighter against the Nazis and in love with his freedom, he was always ready to run away, and always coming back, drawn by a love greater than his love for freedom. Slowly she conquered him, slowly he came to understand the poignant drama of this lone and indomitable woman, struggling in the midst of an all-too-human humanity in her attempt to open man's golden future. Week after week, privately, she confided to him her intimate experiences, the progress of her endeavour, the obstacles, the setbacks, as well as anecdotes of her life, her hopes, her conquests and laughter: she was able to be herself with him. He loved her and she trusted him. It is that simple.

L’Agenda de Mère L’Agenda de Mère 1951-1960 Editor:   Satprem Vol. 1 576 pages 1978 Edition
French
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Mother's Agenda 1951-60 Conversations with Satprem

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1958




Décembre 1958

(Cette note a été écrite en anglais de la main de Mère. Il s’agit d’une attaque de magie noire qui a menacé sa vie, et en tout cas complètement changé son existence extérieure. Une nouvelle étape commence)

Deux ou trois jours après m’être retirée dans ma chambre du haut,1 de bonne heure dans la nuit, je suis tombée dans un très lourd sommeil et me suis retrouvée hors de mon corps, beaucoup plus matériellement que je ne le fais d’habitude. C’est un degré de densité où l’on peut voir l’entourage matériel exactement comme il est. La partie qui était sortie semblait prise par un sortilège et seulement à demi consciente. Quand je me suis retrouvée au premier étage, tout était absolument noir; j’ai voulu remonter mais je me suis aperçue que ma main était tenue par une jeune fille que je ne pouvais pas voir dans l’obscurité, mais dont le contact était très familier. Elle m’a tirée par la main en riant: «Non, viens, descends avec moi, nous allons tuer la jeune princesse.» Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire par cette «jeune princesse» et, à contre-cœur, je l’ai suivie pour voir ce que c’était. En arrivant à l’antichambre qui se trouve en haut de l’escalier conduisant au rez-de-chaussée, mon attention a été attirée, au milieu de cette obscurité totale, par la forme blanche de Kamala,2 debout au milieu du passage qui sépare le hall et la chambre de Sri Aurobindo. Elle était en pleine lumière, pour ainsi dire, tandis que tout le reste était noir. Puis, j’ai vu sur son visage une telle expression d’anxiété intense que, pour la réconforter, je lui ai dit: «Je reviens.» Le son de ma voix m’a secouée de cette semi-transe où j’étais avant et soudain j’ai pensé: «Où est-ce que je vais?» et j’ai repoussé de moi cette forme noire qui me tirait, et en qui j’ai reconnu, pendant qu’elle descendait les escaliers en courant, une jeune fille qui a vécu avec Sri Aurobindo et moi pendant de nombreuses années et qui est morte il y a cinq ans. Durant sa vie, cette fille était sous une influence des plus diaboliques. Puis j’ai vu très distinctement (comme à travers les murs de l’escalier), en bas, une petite tente noire que l’on devinait à peine dans l’obscurité environnante et, debout au milieu de la tente, la forme d’un homme, le crâne et le visage entièrement rasés (comme les Sannyasins ou les moines bouddhistes), couvert de la tête aux pieds d’une sorte de vêtement tricoté qui épousait étroitement la forme de son corps: un corps grand et mince. Aucun autre vêtement ou étoffe n’indiquait qui il pouvait être. Il se tenait debout devant un chaudron noir posé sur un feu rouge sombre qui jetait des lueurs rougeoyantes sur lui. Sa main droite était tendue au-dessus du chaudron et il tenait entre deux doigts une fine chaîne d’or qui ressemblait à l’une des miennes et qui était étrangement visible et brillante. Il balançait doucement la chaîne en psalmodiant des mots qui se traduisirent ainsi dans mon mental: «Elle doit mourir, la jeune princesse, elle doit payer pour tout ce qu’elle a fait, elle doit mourir, la jeune princesse...»

Et tout à coup j’ai réalisé que c’était moi, la jeune Princesse, et éclatant de rire, je me suis retrouvée réveillée dans mon lit.

Je n’ai pas aimé l’idée que quelqu’un ou quelque chose ait le pouvoir de me tirer d’une façon si matérielle hors de mon corps, sans mon consentement préalable. C’est pourquoi j’ai attaché de l’importance à cette expérience.









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