Agenda de l’action Supramentale sur la Terre. Vertical time' - a sort of absoluteness in each second. As if Mother were experiencing her body at the level of subatomic physics. A new mode of life in matter.
The course of 1961, the year of the first American voyage in space, arrives at the heart of the great mystery– "It is double! It is the same world and yet it is.... what?" In one world, everything is harmonious, without the least possibility of illness, accident or death – "a miraculous harmony" – and in the other, everything goes wrong. Yet it is the same world of matter - separated by what? "More and more, I feel it’s a question of the vibration in matter." And then, what is this "vertical time" which suddenly opens up another way of living and being in the matter, in which causality ceases to exist – "A sort of absoluteness in each second"? A new world each second, ageless, leaving no trace or imprint. And this "massive immobility" in a lightning-fast movement, this "twinkling of vibrations," as if Mother were no longer experiencing her body at the macroscopic level, but at the level of subatomic physics. And sixty years of "spiritual life" crumble like a "far more serious illusion" before.... a new Divine... or a new mode of life in matter? The next mode? "I am in the midst of hewing a path through a virgin forest." Volume II records the opening up of this path.
Il y a évidemment une force qui est en train de travailler...
Le travail, quand Sri Aurobindo était là, se faisait d’une autre façon: on avait tellement l’impression qu’on planait au-dessus des difficultés et que l’action se faisait de là, de cette hauteur. Et c’était tellement fort que même les éléments qui se révoltaient, même les choses qui n’allaient pas, même les... c’était comme dominé par ça et ils ne pouvaient pas se manifester: ils restaient comme cela. Et comme ils ne pouvaient pas se manifester, ils s’éteignaient tranquillement.
J’ai vu des gens (des gens du dehors) qui étaient des ennemis; et tout cela, ça s’apaisait, ça s’apaisait, ça s’apaisait; et même quand ils voulaient faire quelque chose de mal, ils ne pouvaient pas. Tout était apaisé comme cela. Et ici, c’était la même chose: les gens avaient, comme toujours, de mauvais mouvements et de mauvaises pensées, mais tout ça, c’était dominé – ça s’apaisait, ça s’apaisait.
Et j’avais continué de la même façon. Mais maintenant, c’est comme si tout... comme si on avait engouffré tout ça. Et la quantité de choses laides, de mouvements mesquins, de réactions vilaines qu’il y a partout-partout, dans tout le monde, oh!... Je suis couverte de lettres, et quelles lettres! quelles lettres!
Et je ne vois pas, vraiment je ne vois pas la nécessité que tout cela se manifeste pour que cela disparaisse. Parce que, avant, quand ça ne se manifestait pas, ça s’éteignait de soi-même; tandis que maintenant, ça fait des problèmes et des problèmes et des problèmes (qui, pour moi, ne sont pas des problèmes: ce sont des imbécillités), mais pour les gens, ce sont des problèmes et des complications. Et tout cela, tellement inutile! On perd tant de temps, tant de temps à faire face à des réactions imbéciles... Je ne sais pas pourquoi.
Et on ne peut rien faire jusqu’à ce que ce soit fini.1
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