Agenda de l’action Supramentale sur la Terre. Vertical time' - a sort of absoluteness in each second. As if Mother were experiencing her body at the level of subatomic physics. A new mode of life in matter.
The course of 1961, the year of the first American voyage in space, arrives at the heart of the great mystery– "It is double! It is the same world and yet it is.... what?" In one world, everything is harmonious, without the least possibility of illness, accident or death – "a miraculous harmony" – and in the other, everything goes wrong. Yet it is the same world of matter - separated by what? "More and more, I feel it’s a question of the vibration in matter." And then, what is this "vertical time" which suddenly opens up another way of living and being in the matter, in which causality ceases to exist – "A sort of absoluteness in each second"? A new world each second, ageless, leaving no trace or imprint. And this "massive immobility" in a lightning-fast movement, this "twinkling of vibrations," as if Mother were no longer experiencing her body at the macroscopic level, but at the level of subatomic physics. And sixty years of "spiritual life" crumble like a "far more serious illusion" before.... a new Divine... or a new mode of life in matter? The next mode? "I am in the midst of hewing a path through a virgin forest." Volume II records the opening up of this path.
(Le disciple demande des nouvelles de la santé de Mère)
C’est une filariose évidente, qui s’obstine à ne pas vouloir s’en aller, mais enfin... Elle n’a qu’un inconvénient maintenant: cela rend les jambes très faibles – très faibles. Pour monter les marches, c’est comme si je faisais une gymnastique terrible. A part cela, ça ne fait rien. De temps en temps, ça prick, ça pique, ça mord, ça gonfle – mais ce n’est rien.
X avait dit que cela partirait tout à fait. Le docteur a dit: «Ça ne partira pas.» Alors mon corps est en train d’observer le phénomène! (Mère rit)
(Mère revoit le texte de certains vieux Entretiens. Dans l’un d’eux – celui du 14 novembre 1956 –, quelqu’un avait demandé si la maîtrise des circonstances dépendait de la maîtrise de soi, et il avait cité le cas de Vivékananda qui possédait, dit-on, une grande maîtrise des circonstances, bien qu’il n’ait pas la maîtrise de sa propre colère.)
Je n’ai jamais connu Vivékananda. Je ne sais que ce que j’en ai entendu dire ou ce que j’en ai lu, mais ce n’est pas ce que j’appelle connaître. Par conséquent je ne peux rien en dire, et je ne veux surtout pas avoir l’air d’accorder foi à tous les ragots qu’on a pu dire sur lui. Je n’ai pas eu de contact personnel avec lui, ni dans le physique ni ailleurs – pas avec lui personnellement. Naturellement, si je faisais un effort, je pourrais, mais...
Pour dire la vérité, cette question me paraît stupide parce qu’on ne peut avoir la maîtrise des circonstances que si l’on devient le Suprême – parce que c’est seulement le Suprême qui a la maîtrise des circonstances. Par conséquent la question n’a pas de sens.
Si vous vous identifiez au Suprême et qu’il n’y ait plus qu’UNE volonté – la Sienne –, alors naturellement vous avez la maîtrise suprême. Autrement, tout cela, ce n’est rien, que des illusions. C’est le Suprême qui vous utilise – vous vous imaginez que, parce que vous voulez telle chose, cela changera les circonstances, mais il faut être encore dans une ignorance totale pour croire que c’est parce que VOUS le voulez que ça change. Par conséquent vous n’avez aucune maîtrise, du tout; vous n’êtes qu’un instrument dont se sert le Suprême, c’est tout.
Alors toutes ces choses-là [les vieux Entretiens], pour moi, ça me paraît tout à fait enfantin, tout à fait enfantin, du bavardage d’à côté – on est en dehors du jardin et puis on raconte ce qui est dedans. Alors il vaut mieux me supprimer toute l’affaire.
(Le disciple proteste vainement et se plaint de ce que Mère veut toujours tout supprimer)
Après le travail, au moment de partir, Mère fait cette remarque:
L’atmosphère s’est un peu soulevée. Tu t’en es aperçu?... Non? pas encore.
Oui, il y a eu une période difficile, j’ai eu l’impression vraiment que...
Oh! mais c’était affreux, affreux.
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