L’Agenda de Mère Set of 13 volumes
L’Agenda de Mère 1961 Vol. 2 505 pages 1978 Edition   Satprem
French

ABOUT

Agenda de l’action Supramentale sur la Terre. Vertical time' - a sort of absoluteness in each second. As if Mother were experiencing her body at the level of subatomic physics. A new mode of life in matter.

L’Agenda de Mère 1961

The Mother symbol
The Mother

The course of 1961, the year of the first American voyage in space, arrives at the heart of the great mystery– "It is double! It is the same world and yet it is.... what?" In one world, everything is harmonious, without the least possibility of illness, accident or death – "a miraculous harmony" – and in the other, everything goes wrong. Yet it is the same world of matter - separated by what? "More and more, I feel it’s a question of the vibration in matter." And then, what is this "vertical time" which suddenly opens up another way of living and being in the matter, in which causality ceases to exist – "A sort of absoluteness in each second"? A new world each second, ageless, leaving no trace or imprint. And this "massive immobility" in a lightning-fast movement, this "twinkling of vibrations," as if Mother were no longer experiencing her body at the macroscopic level, but at the level of subatomic physics. And sixty years of "spiritual life" crumble like a "far more serious illusion" before.... a new Divine... or a new mode of life in matter? The next mode? "I am in the midst of hewing a path through a virgin forest." Volume II records the opening up of this path.

L’Agenda de Mère L’Agenda de Mère 1961 Editor:   Satprem Vol. 2 505 pages 1978 Edition
French
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Mother's Agenda 1961 Conversations with Satprem

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novembre




16 novembre 1961

Au milieu de ma marche, j’entre en transe! Une chose qui ne m’arrivait jamais. Je me trouve debout, comme ça, immobilisée, absolument entourée de lumière blanche, dans un silence total, et complètement rien dans la tête – rien.

Et comme il est assez dangereux d’être dans cet état debout, je me mets sur mon lit, et puis ça continue: je n’entends plus rien, je ne vois plus rien, que cette lumière blanche. Il n’y a plus une pensée, plus une idée dans ma tête, rien du tout. Au point que quelqu’un peut entrer (à condition qu’il ne fasse pas de bruit), je ne le sais pas; c’est seulement parce que je sens la pression de la force de quelqu’un qui m’observe (ça, je le sens), alors j’ouvre les yeux et je vois, en effet, quelqu’un là.

Mais le travail, mon petit, je ne peux pas. Je ne peux pas travailler. Même les choses les plus simples dont je dois me souvenir, je ne me souviens pas! Alors je voulais te dire quels étaient mes jours libres mais je ne me souviens plus.

Mais ça donne une acuité de perception de ce qui est derrière, extraordinaire. Par exemple, je viens de voir ces enfants1

(ce sont tous des enfants que je connais plus ou moins), et je vois, je vois leur nature intérieure (pas avec des images), je le vois d’une façon beaucoup plus claire que d’habitude. La perception intérieure est très aiguë, de ce que les gens sentent et pensent, au point que je vois cela plus que leur apparence physique.

Mais travail, rien. Ah, si: je traduis La Synthèse, et ça me paraît beaucoup plus facile. Je vais plus lentement, il y a une sorte de tension qui a disparu; et le sens me paraît beaucoup plus évident encore que d’habitude. C’est-à-dire que je suis intériorisée, voilà.

Mais au point de vue extérieur, c’est lamentable! Il y a une accumulation de lettres que je ne lis pas; je ne réponds pas aux gens, j’oublie tout – je ne cherche pas à me souvenir. Je ne vaux rien au point de vue extérieur.

Ça durera ce que ça durera.

Et naturellement, comme toujours, il y a une accumulation de gens, de visiteurs, qui demandent à me voir. C’est toujours comme cela, cette contradiction extérieure est toujours là.

Ce n’est pas à un jour près.

Je suis déjà en retard... (Mère se lève en hâte)









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