L’Agenda de Mère Set of 13 volumes
L’Agenda de Mère 1965 Vol. 6 1980 Edition   Satprem
French

ABOUT

Agenda de l’action Supramentale sur la Terre. Mother discovers the 'mind of the cells', a new cellular memory, not of death or the 'real' world, and a marvel of physical freedom hidden within our cells.

L’Agenda de Mère 1965

The Mother symbol
The Mother

"A whole world is opening up." It is the year when Mother reaches "the mind of the cells", buried under the old genetic coding that seems to want to keep men forever harnessed to death: "There, there is such a concentration of power.... as if you had caught the tail of the solution." Another power of consciousness in matter capable of undoing the old program: "A kind of memory being elaborated from below" - a new cellular memory which is no longer the memory of decay, illness, death, gravity and all our "real" world? At the same time, at that cellular level, freed from the old laws, Mother discovers "two worlds one inside the other: a world of truth and a world of falsehood, and that world of Truth is PHYSICAL; it is not up above: it's MATERIAL. And that's what must come to the forefront and replace the other: the true physical." Mother called that replacement the "transfer of power". Is it really conceivable that a marvel of physical freedom lies concealed within our cells, while we strive and toil outside with illusory panaceas: "If even a tiny aggregate of cells were to succeed in experiencing the total transformation, all the way, that would be more effective than any big upheaval. But it's more difficult.... You must overcome death! Death must cease to exist, it's very clear." Is the entire earth not in the process of living through this "transfer of power", just as one day it passed from the reign of the animal to the reign of the mind? "Everything is escaping, there's nothing left to lean on, it is the passage to the new movement.... and for the old, that always means a dangerous disruption of equilibrium."

L’Agenda de Mère L’Agenda de Mère 1965 Editor:   Satprem Vol. 6 1980 Edition
French
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Mother's Agenda 1965 Conversations with Satprem

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septembre




11 septembre 1965

(Le 6 septembre, après de nombreuses escarmouches dans le désert de Kutch depuis des mois, les troupes indiennes ont pénétré au Pakistan. Karachi demande l’aide des «alliés occidentaux». New Delhi ordonne la mobilisation générale. Le 16 septembre, la Chine exprimera son soutien au Pakistan. Le 19 septembre, le Conseil de Sécurité enjoint l’Inde et le Pakistan de déposer les armes et la Russie propose une rencontre à Tachkent. Le 22 septembre, l’Inde et le Pakistan donnent l’ordre de cessez-le-feu. Le 29 septembre, la Chine renouvelle ses revendications sur 90.000 km2 de territoire indien. C'est le deuxième conflit indo-pakistanais depuis l’Indépendance. Il y en aura un troisième en 1971 au moment du Bangladesh.)

On nous menace d'un black-out.

C'est commencé.

Oui, mais enfin, pour le moment, ils ont seulement enlevé toutes les lumières de la rue – pour faciliter le travail des voleurs. Mais ils n'ont encore rien dit pour les lumières du dedans.

Ils veulent enlever celles-là aussi?

Oui. Alors il n'y aura plus qu'à se coucher à sept heures du soir (même plus tôt) jusqu'à six heures du matin. On ne pourra plus rien faire. C'est idiot. D'autant plus que s'il y a un magnifique clair de lune, on n'a pas besoin de lumière pour bombarder.

Comment veux-tu que les avions viennent du Pakistan jusqu'ici? Ils n'auraient pas de quoi retourner.

Ce n'est pas cela. Ils ont envoyé des bateaux porte-avions.

Le Pakistan?

Oui. Ils ont déjà bombardé plusieurs endroits.

Est-ce que cette fois, tu vas permettre aux Indiens d'aller jusqu'au bout?1

Moi, je n'ai rien à voir là-dedans.

Tu n'as rien à voir?... Tu laisses faire?

Non, vraiment... Il m'a été dit beaucoup de choses, mais parmi ces beaucoup de choses, il m'a été dit que c'était pour arriver à une conclusion.

C'était ridicule, non?2

Ah, oui!

On va voir.

Auront-ils [les Indiens] le courage de résister à la pression des Américains, des Anglais, etc.? C'est cela, le plus difficile. Le plus difficile, ce n'est pas militairement, c'est politiquement de résister aux pressions de tous ces gens qui disent: «Il faut faire la paix.»

Mais ils ne sont pas sincères.

C'est cela, le malheur, il n'y a aucune de ces nations qui soit sincère. Ils prétendent, ils prennent une attitude, mais ce n'est pas vrai.

On dit (on dit beaucoup de choses, mais il y a toujours quelque chose de vrai qui est déformé), on dit que, extérieurement, l’Amérique prêche la paix, mais que, en dessous, elle offre de l’argent aux gens qui déclarent la guerre à certains gouvernements. Je ne sais pas si c'est vrai... Il doit y avoir quelque chose de vrai. Le nouveau Président de je ne sais plus quel pays (le Vietnam, je crois) a fait une déclaration publique disant que l’Amérique lui avait offert des sommes fantastiques pour qu'il prenne parti – est-ce vrai? n'est-ce pas vrai? on ne sait pas. Tout le monde dit des mensonges, mais derrière tous ces mensonges, il y a quelque chose.

Je ne sais pas.

Il faudrait en finir.

Il y a une chose, c'est que le Pakistan dépend entièrement de l’aide qu'on lui donne – il ne fait rien lui-même. Ils n'ont pas d'usines, ils n'ont pas d'industries, ils n'ont rien. Alors évidemment, ils sont dans une situation inférieure.

Mais enfin, tout cela...

Il y a des gens, avec raison, qui voient une analogie entre cette guerre et celle de la Guîtâ où Arjouna devait combattre les membres de sa propre famille. On dit que ce sont les membres de la même famille qui sont en train de se battre, et peut-être justement pour...

Ce que j'ai senti fortement, c'est qu'il fallait que quelque chose éclate: c'était trop absurdement tendu sans vérité.

Je ne sais pas si je t'ai dit que la veille du jour où l’on a su que c'était devenu vraiment une espèce de guerre, la veille, la nuit d'avant, j'ai eu une expérience que j'ai eue seulement deux ou trois fois dans ma vie, et toujours en des circonstances analogues. Cette fois-ci, je ne m'attendais à rien du tout, et la nuit, il y a eu dans l’atmosphère TERRESTRE, avec une concentration sur l’Inde, une sorte de... quelque chose que l’on peut appeler une «pression du Suprême» (c'est comme si la Conscience du Suprême faisait une pression), et ça produit un certain genre d'immobilité qui a une solidité et une consistance qu'on ne trouve nulle part ailleurs. N'est-ce pas, c'est même plus solide et plus consistant que l’inertie la plus inerte. Et c'est la pression de la Puissance Suprême. C'est presque intolérable ou insupportable pour la Matière, pour la substance matérielle. Et ça fait comme cela (geste de descente massive), absolument une impossibilité de bouger, et en même temps on sent que c'est la Puissance Suprême. Eh bien, ça a duré des heures la nuit, et j'étais extrêmement attentive pour savoir ce que cela voulait dire. Et le lendemain, on m'a dit que ça avait tout d'un coup éclaté comme une guerre: tous ces tiraillements qu'il y a depuis... des années, tout d'un coup avaient pris cette forme.

Alors il est évident que c'était une intervention très exceptionnelle qui a apporté cela.

Mais pendant que j'avais l’expérience, il n'y avait absolument aucune conscience du but, du mobile, de la raison d'être, rien: c'était comme cela (même geste massif qui empoigne tout), une espèce d'absolu, sans explication.

J'ai eu cela deux ou trois fois dans ma vie, dans les circonstances terrestres les plus sérieuses.

C'est pour cela; le lendemain, on m'a dit ce qui se passait et on m'a demandé ce que je sentais; j'ai répondu simplement: «C'est grave.»

Ce ne peut être que grave.

Maintenant... «grave», ce que l’on pourrait appeler grave, c'est quand cela devient mondial.

Pour le moment, il paraît que le Pakistan a demandé déjà l’aide de trois ou quatre pays, qui ont refusé. Mais les nouvelles... je n'y attache aucune importance parce qu'elles sont toujours falsifiées. Par exemple, quand un pays comme l’Angleterre peut décider de donner son appui, officiellement elle dira: «Nous n'avons rien à voir avec votre guerre.» Alors, cela ne veut rien dire.

Voilà.

J'espère tout de même que l’on nous permettra de travailler un peu le soir, autrement on se repose... On se «repose» (!)... dès que je suis étendue là, sur ce qu'on appelle mon «lit», je commence à travailler.

Bien.









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