Agenda de l’action Supramentale sur la Terre. The 'yoga of the cell' leads to 'true matter' and eventually the victory over death. A collective transformation sufficient to create a new species on earth is needed.
This year, all the features of the yoga of the cells become clear: "A growing conviction that a perfection achieved in matter is a far more perfect perfection than any other. The consciousness expressed in transformed cells is a marvel: it legitimises all these ages of misery. Oh, what a fuss all those gods make." This year marks the discovery of "true matter".... without fuss: "In that cellular limpidity, there are no more problems: the solution precedes the problem. That is, things arrange themselves automatically." It's another mode of life on earth - "such a natural way of being" - in a body freed from its mental shackles and the laws of false matter: "The extraordinary impression of the unreality of suffering the unreality of illness.... It does not cure illness: it annuls it - it makes it unreal.... And then you see: as the functioning gradually grows perfect, it necessarily, inevitably means victory over death." And meanwhile, Surveyor is digging the ground of the moon with its mechanical arms, while our own secrets remain buried in a little cell: "We can travel anywhere, we know what's going on anywhere.... and we don't know what's going on inside ourselves." War is raging in Biafra, the Israeli troops are marching toward Suez, American planes are bombing Haiphong, China explodes its first thermonuclear bomb.... and so on. "A tremendous conflict over earth." At stake is a new earth, or a return to the old fiasco: "A local and momentary manifestation is not ruled out, but what is needed is a collective transformation sufficient to create a new species on earth.... This fact is certain." Will we understand where the real way out is, and the Marvel concealed in a human body?
(À propos de la conversation du 7 mars sur la «mort», où Mère disait notamment: «Il n'y a rien qui soit vraiment la mort... Il n'y a pas de changement radical dans la vibration de la conscience... On a une perception du monde physique, pas absolument identique mais avec une efficacité quelquefois plus grande...» Mère avait d'abord autorisé la publication de cette conversation dans les «Notes sur le Chemin», puis...)
I begin to think that it is not good to give this kind of «lived know-ledge» to people who are not capable of having it, of experiencing it.1
Par exemple, j'ai vu clairement ces jours-ci que les hommes ne connaissent pas la réalité – la réalité concrète – de l’invisible, parce que s'ils la connaissaient, ils deviendraient fous. Ils ont une telle peur de ces choses...
Déjà maintenant, quand, dans une vision, ils voient quelqu'un qu'ils aimaient lorsqu'il était vivant, quand ils le voient la nuit, ils disent: «Ooh! un fantôme!» Et ils ont horriblement peur!
Alors cela va peut-être les épouvanter.
Ce n'est pas épouvantable puisque, au contraire, ça leur donne un espoir!
Oui, mais il ne faut pas essayer de rendre raisonnables les gens qui ne le sont pas.
Je ne sais pas... Ça peut tomber entre les mains de quelqu'un à qui cela fera beaucoup de bien, mais est-ce que cela vaut la peine de risquer de faire du mal pour un ou deux à qui cela fera du bien? C'est à voir.
Moi, je trouve cela consolant que tu dises cette continuité de la conscience. Ça ne peut pas faire de mal, non?
(Mère rit et ne répond pas)
Peu après
On m'a posé une question: «Qu'est-ce que la jeunesse?» Voici ce que j'ai répondu (Mère sort une note):
«Être jeune, c'est vivre dans l’avenir pour l’avenir. Être jeune, c'est être toujours prêt à abandonner ce que l’on est pour devenir ce que l’on doit être...
Et surtout, le plus important:
«Être jeune, c'est ne jamais admettre l’irréparable.»
Puis Mère sort une autre note qu'elle vient d'écrire à un disciple:
«On est toujours profondément dégoûté par ses propres défauts quand on les rencontre chez les autres» (!)
Une autre note encore:
«Les Européens attachent la plus grande importance aux mots prononcés.
«Les Indiens sont beaucoup plus sensibles au sentiment, que ces mots voilent le plus souvent.»
C'est à propos d'une réflexion de B. Elle a dit quelque chose à quelqu'un avec des mots très aimables et extrêmement polis, mais dans son cœur, elle n'aime pas la personne à qui elle parlait; et elle était choquée parce que l’autre s'est indigné... Moi, j'ai compris tout de suite. Elle s'est indignée, elle a dit: «Pourquoi? j'ai été très polie, pourquoi?»
Eux, ils sentent. Ils sentent profondément le sentiment avec lequel vous dites la chose. C'est cela qu'ils sentent et c'est à cela qu'ils répondent.
Et une dernière note:
C'est en réponse à une «association» de l’Ashram. Ils ont demandé:
«Quel est le besoin de l’heure?»
«N'essayez pas de tromper le Divin!»
(Mère rit beaucoup)
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