L’Agenda de Mère Set of 13 volumes
L’Agenda de Mère 1963 Vol. 4 509 pages 1979 Edition   Satprem
French

ABOUT

Agenda de l’action Supramentale sur la Terre. Mother experiences a cellular ubiquity: 'The body is everywhere!' A new cellular consciousness that will be a new kind of physics and the earth's next biology?

L’Agenda de Mère 1963

The Mother symbol
The Mother

The year of Kennedy's assassination; the beginnings of the Sino-Soviet split. While the destructive giants respond faster and faster and science calls in question the laws of the universe, Mother is slowly hewing out the path to the next species on earth. "The path I seek is ever descending," into the consciousness of the cells. Will it be global death then, or, just as the birds followed the reptiles, the beginning of a new world? "I am on the threshold of a stupendous realisation, which depends on a very tiny thing." She is 85 this year. Will it be a more "intelligent" species within the framework of our physics, or one endowed with another kind of intelligence capable of changing the laws of physics, as the frog changes the laws of the tadpole in its fishbowl? In the course of this descent towards the self, Mother suddenly veers into another physical universe: "Everything looks as though you were seeing it for the first time, even the motion of the earth and the stars… There is no distance, no difference, there is not something that sees and something that is seen.... You become a mountain, a forest, a house.... You see simultaneously thousands of miles away and at very close range" - a kind of cellular ubiquity. And then, too, this astounding realisation: "The body is everywhere!" Is the next species ubiquitous? For what happens to the laws of the old physics when the fishbowl is shattered, when distance and "elsewhere" are abolished? "All the usual rhythms have changed.... a universal movement so tremendously rapid that it seems motionless.... A true physical that lies behind." And where is death for one who escapes the wear and tear of time inside the fishbowl? "If this condition becomes a natural thing, death can no longer exist!.... It would be a new phase of life on earth." And there is no need to look far for it: "The field of experience is right here, at every second.... people strive to enter into contact with something that is right here." A new cellular consciousness that will be a new kind of physics and perhaps the earth's next biology?

L’Agenda de Mère L’Agenda de Mère 1963 Editor:   Satprem Vol. 4 509 pages 1979 Edition
French
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Mother's Agenda 1963 Conversations with Satprem

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9 janvier 1963

...Comme les gens aiment bouger! comme ils ont besoin de bouger pour se sentir vivre!

Hein, c'est comme ça.


(Mère parle du Bulletin et notamment de l’Entretien du 3 juillet 1957 où Elle racontait sa vision symbolique du «Grand Hôtel» en perpétuelle démolition:)1

Mais tout ça me paraît en dehors. Je comprends que ça puisse intéresser les gens, mais c'est encore parmi les choses qui me font sourire. Ça me paraît comme cela. Même cette vision.

J'en ai trois-quatre toutes les nuits, de grandes visions, avec toutes les complications,2 tous les symboles, toutes les explications. Et je rencontre des gens... qui ne sont pas comme ils croient qu'ils sont.

Mais c'est formidable! Formidable ce qu'en quelques heures de nuit on peut faire de choses...

(silence)

Et tout ce qu'il y a à savoir, qu'on ne sait pas (pas les choses extérieures)...

(long silence)

Mais c'est très difficile pour le corps, de changer. Parce qu'il ne vit que par son habitude de vivre. Et chaque fois que quelque chose s'infiltre, de la vraie manière de vivre, sans pensée, sans raisonnement, sans rien qui ressemble à une idée, presque sans sensation, presque automatiquement, il y a l’affolement du nouveau, dans les cellules. Alors tu comprends, tout est à changer. Ce n'est plus le cœur qui doit envoyer le sang, qui doit recevoir la Force; ce n'est plus l’estomac qui doit digérer, ce n'est plus tout ça – ça fonctionne d'une autre façon. La base doit être déplacée, le fonctionnement complètement changé – et alors toutes ces cellules qui sont très attentives à ce que tout aille selon l’habitude...

(silence)

Terrible. Une étrange difficulté.

Si c'est l’être intérieur – l’être vrai – qui gouverne, le corps fait les choses automatiquement par le pouvoir de l’être vrai; mais alors il ne devient pas conscient de son changement, il ne collabore pas au changement, et pour que le changement se fasse, probablement il faudrait... peut-être des millénaires. Il faut que l’être vrai soit comme ça (geste à l’arrière-plan, en retrait) et que le corps fasse les choses lui-MÊME, c'est-à-dire contienne le Seigneur, reçoive le Seigneur, se donne au Seigneur, SOIT le Seigneur. Il a l’aspiration, oh! intense, ça flambe – c'est très bien. Mais le Seigneur (souriant), Il ne marche pas selon l’habitude ordinaire! Alors toutes les habitudes, dès que, simplement, Il essaye de prendre possession d'une fonction ou de l’autre, même partiellement (pas totalement), toutes les relations, tous les mouvements sont instantanément changés – affolement. Affolement sur le point. Ça se traduit: on s'évanouit, ou on est sur le point de s'évanouir, ou on a une douleur effroyable, ou enfin quelque chose APPAREMMENT se détraque complètement. Alors qu'est-ce qu'il faut faire?... Attendre patiemment que ce petit nombre, ou ce grand nombre, de cellules, ce petit coin de conscience, ait appris sa leçon. Ça prend un jour, ça prend deux jours, ça prend trois jours, et puis ce «grand» événement chaotique, bouleversant, se calme, s'explique, et ces cellules-là se disent (commencent à se dire): «Dieu que nous sommes bêtes!...» Ça prend un petit moment, elles ont compris.

Mais il y en a des milliers, des milliers, des milliers!

On ne peut pas forcer la dose, parce qu'il faut empêcher la dislocation, n'est-ce pas! J'ai vu ça ces jours-ci; la dernière fois que tu es venu, j'étais en plein – en plein bouleversement.3

La conscience est là (geste en arrière), mais... elle n'intervient que si c'est absolument indispensable. Seulement elle tâche localement de leur faire... (pas comprendre, ce n'est pas «comprendre» parce qu'il n'y a pas de mental) avoir la vraie sensation, la vraie expérience – la vraie expérience –, jusqu'à ce que les cellules commencent à se dire: «Oh! oh!...»

Il y en a qui s'affolent. Il y en a qui ont déjà eu des expériences, qui savent mieux et qui voient plus clair et qui font le travail d'adaptation à la nouvelle vibration. Mais d'autres, il faut qu'elles comprennent. Alors elles se sentent si stupides, si stupides! Et là-haut, il y a quelque chose qui voit tout ça et qui à la fois (les deux à la fois), s'amuse beaucoup parce que c'est vraiment follement ridicule, mais en même temps c'est si triste! C'est si triste de voir que c'est TOUT comme ça: TOUTE la terre, TOUTE la terre! que ce corps représente l’effet d'une concentration spéciale, d'un effort spécial, d'une CHARGE spéciale, d'une attention spéciale, d'un soin spécial – ce tout petit coin, tout petit –, et il y a toute la terre, toute la terre... Et ça se croit si merveilleux, si intelligent!...

Je pourrais pendant des heures raconter des choses.

Plus tard.

Encore maintenant, il faut aller doucement-doucement-doucement – pas trop débrider. On est entouré de gens qui disent: «Oh! elle est très malade! qu'est-ce qui va arriver?...» et qui me rendent la chose difficile. Parce qu'il faut encore, avec la Force, écarter tout ça: «Tenez-vous tranquilles! N'allez pas faire des formations qui vont aggraver la difficulté.»

Tu vois comme on est loin de ces transformations romantiques où les gens sortent de leur méditation rajeunis, embellis, lumineux, oh là! là! mes enfants. Ça, ça viendra très facilement. À la fin, ce n'est rien: on fera comme ça (Mère souffle en l’air) et ça y sera.

C'est le reste qui est difficile.









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