Ce volume comporte les commentaires de la Mère sur les Pensées et Aphorismes de Sri Aurobindo, et le texte de ces Aphorismes.
469 — Parce que, tout d’abord, il te fut donné des conceptions imparfaites de Dieu, tu rages maintenant et tu Le nies. Homme, doutes-tu de ton instructeur parce qu’il ne t’a pas donné la connaissance tout entière dès le début ? Étudie plutôt cette vérité imparfaite et mets-la à sa place afin de pouvoir passer en sécurité à la connaissance plus vaste qui s’ouvre maintenant devant toi. 470 — C’est ainsi que Dieu, en Son amour, enseigne l’âme-enfant et le faible, les menant pas à pas et refusant la vision de Ses sommets ultimes encore inaccessibles. Et n’avons-nous pas tous quelque faiblesse ? Ne sommes-nous pas tous, dans Sa vision, seulement de petits enfants ? 471 — J’ai vu ceci, que tout ce que Dieu m’a refusé, Il l’a refusé dans Son amour et Sa sagesse. Si j’avais saisi, à ce moment-là, ce qu’Il me refusait, j’aurais changé un grand bien en un grand poison. Cependant, quand nous insistons, il nous donne parfois du poison à boire afin que nous puissions apprendre à l’écarter pour goûter avec connaissance Son ambroisie et Son nectar.
469 — Parce que, tout d’abord, il te fut donné des conceptions imparfaites de Dieu, tu rages maintenant et tu Le nies. Homme, doutes-tu de ton instructeur parce qu’il ne t’a pas donné la connaissance tout entière dès le début ? Étudie plutôt cette vérité imparfaite et mets-la à sa place afin de pouvoir passer en sécurité à la connaissance plus vaste qui s’ouvre maintenant devant toi.
470 — C’est ainsi que Dieu, en Son amour, enseigne l’âme-enfant et le faible, les menant pas à pas et refusant la vision de Ses sommets ultimes encore inaccessibles. Et n’avons-nous pas tous quelque faiblesse ? Ne sommes-nous pas tous, dans Sa vision, seulement de petits enfants ?
471 — J’ai vu ceci, que tout ce que Dieu m’a refusé, Il l’a refusé dans Son amour et Sa sagesse. Si j’avais saisi, à ce moment-là, ce qu’Il me refusait, j’aurais changé un grand bien en un grand poison. Cependant, quand nous insistons, il nous donne parfois du poison à boire afin que nous puissions apprendre à l’écarter pour goûter avec connaissance Son ambroisie et Son nectar.
Quand l’homme sera un peu plus sage, il ne se plaindra de rien et prendra les choses que le Divin lui envoie comme un effet de Sa Grâce qui est toute miséricorde.
Plus nous serons soumis, plus nous comprendrons.
Plus nous serons reconnaissants, plus nous serons heureux.
1 avril 1970
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