Ce volume comporte les commentaires de la Mère sur les Pensées et Aphorismes de Sri Aurobindo, et le texte de ces Aphorismes.
497 — Quand j’eus découvert que la douleur était l’envers du délice et son école, j’essayai d’entasser sur moi les coups et de multiplier la souffrance dans toutes les parties de mon être, car même les tortures de Dieu me semblaient lentes, légères et sans effet. Alors mon Amant a dû arrêter ma main et s’écrier : « Cesse, car mes coups de fouet sont suffisants pour toi. » 498 — Les tortures que s’infligeaient les anciens moines et pénitents étaient perverses et stupides ; cependant, il y avait une âme de connaissance secrète derrière leurs perversités. 499 — Dieu est notre sage et parfait Ami, car Il sait quand nous frapper et quand nous caresser, le moment de nous tuer comme le moment de nous secourir et de nous sauver.
497 — Quand j’eus découvert que la douleur était l’envers du délice et son école, j’essayai d’entasser sur moi les coups et de multiplier la souffrance dans toutes les parties de mon être, car même les tortures de Dieu me semblaient lentes, légères et sans effet. Alors mon Amant a dû arrêter ma main et s’écrier : « Cesse, car mes coups de fouet sont suffisants pour toi. »
498 — Les tortures que s’infligeaient les anciens moines et pénitents étaient perverses et stupides ; cependant, il y avait une âme de connaissance secrète derrière leurs perversités.
499 — Dieu est notre sage et parfait Ami, car Il sait quand nous frapper et quand nous caresser, le moment de nous tuer comme le moment de nous secourir et de nous sauver.
Il n’y a qu’une sagesse qui soit la vraie sagesse, c’est celle du Seigneur Suprême. Ainsi abdiquer toute volonté personnelle et ne vouloir que ce que veut le Divin, est le seul moyen d’être vraiment sage.
24 avril 1970
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